Le Collectif des Locataires de la cité du Général devient :
Collectif Aubagnais pour la maîtrise des ondes électromagnétiques de téléphonie mobile.
L'espérance de vie augmente nous dit-on dans les médias. A la cité du général comme aux alentours, (école maternelle à 30 mètres, maison de retraite à 10 mètres) on espère rester dans la moyenne !.
Les antennes relais de téléphonie mobile implantées sur le toit de l'immeuble situé avenue de verdun (17 installées à ce jour + 3 à venir) sont-elles aussi inoffensives pour notre santé que le prétendent les opérateurs, les directions d' HLM, et certains de nos dirigeants !. ( Madame la Ministre de l'économie numérique Fleur Pellerin met en garde contre les "peurs irrationnelles" dont seraient pris les résidents et les riverains des lieux d'implantations d'antennes relais. )
Les habitants riverains de la Cité du Général pensent le contraire (voir l'enquête de santé réalisée par l'ASEF, Association de plus de 2500 médecins français sur les résidents de l'immeuble du Général à Aubagne) comme l'O.M.S. qui a classé dans le Groupe 2B cette fammille d'émissions.
Le même Groupe que le plomb, que la laine de verre, que le Bisphénol A aujourd'hui interdit, et que la chlordécone, les vapeurs de diesel.
31 Mai 2011 Identité du Groupe : peut causer le cancer.
Dans plusieurs Etats, la France en fait Partie, ce classement ouvre des risques vers des actions pénales.
Les locataires des ensembles HLM ne sont pas des hommes et des femmes de seconde catégorie.

mardi 26 novembre 2013

Sénat : Mission d'inspection relative à l'installation des antennes-relais sur le territoire national

Un sénateur demande une mission d'inspection sur l'installation des antennes relais de téléphonie mobile 


    Question écrite n° 09354 de M. Alain Bertrand (Lozère - RDSE)

    publiée dans le JO Sénat du 21/11/2013 - page 3338


Lien : Site du Sénat

Antennes relais - Ondes Science et Manigances

Enquête sur la manipulation de la science par les industriels de la téléphonie mobile

lundi 25 novembre 2013

Antennes relais - Après la 4G place à la 5G..... c'est dans les cartons !

Les politiques et les opérateurs signent des accords pour développer la 5ème génération d'antenne relais
Devant la croissance exponentielle des données échangées par mobile - qui doublent chaque année -, la 5G aura aussi besoin de nouvelles bandes de fréquences pour acheminer ce trafic.
"Certaines fréquences hertziennes actuellement allouées à l'aéronautique et à la recherche spatiale devraient se libérer dans les prochaines années grâce à l'évolution des technologies. La 5G aura besoin de fréquences hautes, qui induisent aussi une portée réduite, mais ce sera parfait pour les objets connectés à l'intérieur d'une maison ou les flux vidéo dans une salle de conférence", explique M. Pujol.
Mais attention, "on n'est qu'au début de l'aventure 5G, et il est difficile de dire aujourd'hui +ce sera comme cela en 2020+", prévient Viktor Arvidsson.

dimanche 24 novembre 2013

Ondes électromagnétiques : REXPOËDE "Un cas d'école"

Dans la commune de Rexpoëde, à quelques kilomètres de Dunkerque, dans le Nord de la France, la cheminéedel'ancienne distillerie est devenue le support des trois opérateurs historiques de téléphonie mobile. Les antennes ainsi installées permettent un champ d'émission à 360° à proximité d'habitations et à moins de 100 m du groupe scolaire l'école Victor Hugo. Fait dramatique en 2007, un cancer du cerveau est diagnostiqué chez un jeune garçon. En mars 2009, c'est une petite fille de 4 ans qui est atteinte d'une tumeur "du tronc cérébral" dont elle décèdera 6 mois plus tard.

Deux cas, en peu de temps, au sein du même groupe scolaire, alertent les parents d'élèves qui essaient d'analyser les éléments environnementaux susceptibles d'être à l'origine de ces pathologies. La proximité des antennes-relais est logiquement soupçonnée. 

Conjointement, les associations Rexpoëde Environnement et Priartem demandent la mise en place d'une enquête sanitaire auprès de la Direction Générale de la Santé. Une réponse arrivera un an plus tard : "Il n'est pas possible d'aller plus loin dans le cadre d'une étude locale". Deux cas de cancers sur Rexpoëde et de nombreux autres cas dans d'autres écoles françaises seraient-ils insuffisant pour appliquer dès maintenant le principe de précaution ?

Ce film est un état des lieux, d'une situation "d'attente" insupportable que connaissent les riverains et parents d'élèves, de la réponse des autorités locales à leurs inquiétudes et de comment les agences sanitaires (s')expliquent d'une telle situation.

Signer la pétition pour protéger nos enfants des ondes :
http://www.petitions24.net/protegeons...

REXPOËDE "Un cas d'école"

Un film de :
Jean-Marc MELLONI (réalisateur)
Isabelle CARI (correspondante Priartem Nord - Pas-de-Calais)

Musique : Hubert DELGRANGE, Vincent CUNAT

vendredi 8 novembre 2013

Pas de trêve hivernale pour les électrosensibles mais quelques avancées, à petits pas...

Le collectif des Electrosensibles de France et Priartem ont été reçus ce jour par la Sous direction prévention des risques liés à l’environnement et à l’alimentation de la Direction générale de la Santé.
C’est dans un climat de bonne écoute que nous avons pu échanger sur l’ensemble de la problématique : prise en charge au niveau médical et social, urgence pour les plus atteints, vigilance sanitaire, prévention par la réduction des expositions...
Parmi les pistes d’action envisagées par la DGS, notons :
- pour la prise en charge, les Centres de Pathologies Professionnelles (CPP) , au sein des Centres Hospitaliers universitaires (CHU) pourraient devenir référents en matière de pathologies environnementales.
- un premier retour d’expérience serait à dresser et la création d’outils de référence à envisager
- initier une sensibilisation des Agences Régionales de Santé
- faire le point sur la veille sanitaire
Concernant les CCP impliqués dans l’étude Cochin, nous avons fait la démonstration qu’actuellement il n’y a pas de prise en charge adaptée, voire quelques situations inacceptables que nous avons étayées ce jour par des témoignages. Pour envisager une réelle prise en charge par les CPP, des efforts importants devront être faits pour rétablir la confiance des malades, notamment au travers d’une véritable transparence et concertation. Il faudra en outre doter les CPP de réelles compétences en la matière.
Par ailleurs, nous avons réussi à faire admettre à la DGS la nécessité de mettre à l’abri les personnes en créant des centres de convalescence sans ondes. Les participants ont convenu que cettemise à l’abri est temporaire et doit être associée à une prise en charge globale pour éviter une désocialisation.
La question de l’habitat, du diagnostic des expositions (conseiller habitat-environnement-santé) et de leurs réductions a été mise en lumière. En particulier, l’absence de réglementation des sources proches (téléphones sans fil, wifi...) fait que les technologies sans fil ne sont pas conçues pour réduire les expositions alors qu’il existe des solutions techniques (ex. Eco-dect + qui n’émet que lorsqu’on téléphone).
Nous avons également demandé à ce que la pertinence des normes actuelles soit mise en question car leur établissement par l’ICNIRP pose des problèmes de conflits d’intérêt et des questions sur le plan sanitaire et scientifique.
Nous avons constaté un manque flagrant de moyens humains et les réponses apportées, même si elles vont dans le bon sens ne répondent pas à l’urgence de certaines situations ni au risque d’apparition de nouveaux cas.
Nos différentes revendications relèvent de divers services de l’Etat. Nous déplorons que la DGS ne soit pas en mesure de coordonner ces différentes actions, laissant aux associations de malades le soin de faire le lien entre de nombreux ministères, services et structures dans une démarche épuisante. La demande d’un plan d’action coordonné et de nomination d’un référent est donc toujours d’actualité.
L’intérêt de la charte pour la recherche et la prise en charge de l’EHS rédigée par le collectif a été salué et sa proposition à l’OMS encouragée. Nous la proposerons également à la signature d’institutions comme l’ANSES...
Un engagement d’une nouvelle réunion premier trimestre 2014 a été pris.

Le collectif – contact [ at ] electrosensible.org - www.electrosensible.org
P.R.I.A.R.Té.M – 01 42 47 81 54 - contact [ at ] priartem.fr-www.priartem.fr

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Mots-clés associés à cet article : Electrosensibilité
 

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Antennes relais - L'enquête de santé réalisée par l' A.S.E.F cité du Général à Aubagne


Immeuble le Général, Aubagne en Provence


la liste des décès et pathologies s'allonge !


17 antennes relais


Début des implantations des Antennes relais sur le toit de l'immeuble : année 1998


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Le 30 Janvier 2013


La ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, a mis en garde mercredi contre des "peurs irrationnelles" liées aux ondes radioélectriques, dont "la dangerosité n'est pas scientifiquement étayée"


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Liste ci-dessous mise à jour : Le 24/11/2014


Le 24/11/2014 un nouveau cas d' AVC à l'entrée 43


Le 19/11/2014 un nouveau décès (cancer) à l'entrée 40


Le 15/05/2014 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 43


Le 10/04/204 un nouveau cas grave (cancer du foie) au 40


Le 2/03/3014 un nouveau cas grave (cancer du pacréa) au 42


Le 8/01/2014 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/08/2013 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/02/2013 un nouveau cas de cancer identifié à l'entrée 40


Le 16/02/2013 un nouveau décès (cancer ?) au 41


Le 12/02/2013 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 45


Le 21/12/2012 deux nouveaux cas d' AVC (2007 et 2009) identifiés à l'entrée 40 !


Le 20/11/2012 un nouveau cas de cancer à l'entrée 40 !


Le 7/11/2012 un nouveau décès (crise cardiaque) au 42 !


Un nouveau cas de tumeur (2012) identifié à l'entrée 45 (14 appartements)


Troublant non !


L'enquête de santé ci-dessous a été réalisée en Novembre 2011


En Novembre 2011 l' Association Santé Environnement France (ASEF) regroupant 2500 médecins à menée une étude dans deux cités HLM (13Habitat) des Bouches du Rhône : l'une à Aubagne en Provence à la cité du Général Avenue de Verdun, dont nous sommes locataires (17 antennes relais) l'autre à Aix en Provence cité la Pinède (12 antennes relais).

43 % des 117 locataires de la cité du Général et 16 locataires de la Pinède interrogés se plaignent d' acouphènes (sifflement, bourdonnements dans les oreilles) alors que seulement 15 % des Français disent en souffrir. De même, 55 % des locataires disent souffrir de maux de tête et trouble du sommeil contre seulement 32 % de la population globale.

Et 27 % des sondés avouent avoir du mal à se concentrer contre seulement 4 % des Françai