Le Collectif des Locataires de la cité du Général devient :
Collectif Aubagnais pour la maîtrise des ondes électromagnétiques de téléphonie mobile.
L'espérance de vie augmente nous dit-on dans les médias. A la cité du général comme aux alentours, (école maternelle à 30 mètres, maison de retraite à 10 mètres) on espère rester dans la moyenne !.
Les antennes relais de téléphonie mobile implantées sur le toit de l'immeuble situé avenue de verdun (17 installées à ce jour + 3 à venir) sont-elles aussi inoffensives pour notre santé que le prétendent les opérateurs, les directions d' HLM, et certains de nos dirigeants !. ( Madame la Ministre de l'économie numérique Fleur Pellerin met en garde contre les "peurs irrationnelles" dont seraient pris les résidents et les riverains des lieux d'implantations d'antennes relais. )
Les habitants riverains de la Cité du Général pensent le contraire (voir l'enquête de santé réalisée par l'ASEF, Association de plus de 2500 médecins français sur les résidents de l'immeuble du Général à Aubagne) comme l'O.M.S. qui a classé dans le Groupe 2B cette fammille d'émissions.
Le même Groupe que le plomb, que la laine de verre, que le Bisphénol A aujourd'hui interdit, et que la chlordécone, les vapeurs de diesel.
31 Mai 2011 Identité du Groupe : peut causer le cancer.
Dans plusieurs Etats, la France en fait Partie, ce classement ouvre des risques vers des actions pénales.
Les locataires des ensembles HLM ne sont pas des hommes et des femmes de seconde catégorie.

jeudi 29 novembre 2012

Antennes relais - Ondes performantes - Ondes perforantes


Un document de : 

Coordination -Citoyenne-Antennes- Relais- Rhône Alpes
Grande Rue de la Croix Rousse 69004 Lyon
Tous courriers à BP. 4466 69241 LYON Cedex 04 

mercredi 21 novembre 2012

Antennes relais - ondes électromagnétiques - Les résidents de l'immeuble du Général à Aubagne dans la tourmente, décès, pathologies, la liste s'allonge !

Accueil

dimanche 18 novembre 2012

Pétition projet de loi encadrant l'implantation des antennes relais sur les toits d'immeubles HLM, crèches, écoles, commissariats, hôpitaux....

2500 signatures ! 

La pétition portée, en autres par EELV, qui accompagne la lettre ouverte de Patrice Halimi  adressée aux sénateurs et députés, pour réclamer l'adoption d'une loi réglementant l'implantation des antennes relais, cartonne ! 
Sénateurs, députés, députés européens, conseillers régionaux, conseillers généraux, conseillers municipaux... associations, militants, citoyens anonymes ... toute la gauche s'est  mobilisée pour porter et  accompagner la proposition de loi.
Continuons la mobilisation ... nous vous invitons à faire comme à Aix... nous allons sur les marchés pour les signatures muni d'un tract recto verso (joint) .
Merci de me scanner les feuilles de signatures et de me les envoyer sur ce mail ce qui nous permettra de les enregistrer.    
Amicalement
Geneviève Hamy
06 08 52 06 49
 lien de la pétition .....            www.asef-asso.fr
   
La semaine dernière le Dr Patrice Halimi, porte-parole de l’Association Santé Environnement France, écrivait à tous les sénateurs et députés pour réclamer l’adoption d’une loi réglementant l’implantation des antennes relais. Sa lettre ouverte a depuis été soutenue par près de 1 500 personnes, dont un sénateur et un député, ainsi que par les principales associations travaillant sur le sujet : « Robin des Toits », « Priartem » et le « Criirem ».  Aujourd’hui réunies, les quatre associations s’adressent de nouveau à nos représentants pour leur demander de prendre des engagements.

La nécessité d’une loi.  Aujourd’hui, les antennes relais s’amoncèlent en haut des toits des logements sociaux – certains immeubles en comptant jusqu’à 17!  C’est l’anarchie qui règne, les opérateurs sont libres. Un arrêt daté du 7 avril 2005 leur a tout de même un peu compliqué la tâche pour s’implanter dans les copropriétés privées en déclarant qu’une antenne relais ne pouvait être installée que si les propriétaires d’un immeuble l’acceptaient à l’unanimité. Dans les faits, les propriétaires doivent se battre pour faire respecter cet arrêt.... Cependant absolument rien ne protège les locataires, ce qui explique pourquoi les HLM voient fleurir sur leurs toits des forêts d’antennes relais...Aucune loi non plus pour protéger certaines zones «sensibles» comme c’est le cas des écoles, des crèches ou encore des hôpitaux.... Les opérateurs sont libres... « Nous avons souvent souligné la vulnérabilité toute particulière des locataires, le simple droit à l’information prévu dans la loi SRU ne leur étant souvent même pas appliqué. Il nous semble également urgent de protéger les enfants, population reconnue par tous comme plus fragile » affirme Janine Le Calvez, Présidente de l’association Priartem. Un avis partagé par le Criirem dont la Vice-Présidente, Michèle Rivasi, a soutenu la lettre ouverte dès le premier instant.

Optez pour la prévention. Aujourd’hui, il y’a bien une controverse scientifique sur le sujet. Les études se contredisent: certaines ne relèvent aucun effet, tandis que d’autres les mettent en cause dans différentes pathologies: des maux de tête aux cancers. « Il ne s’agit pas pour nous de trancher la question scientifique, ni d’interdire les antennes relais. Cependant, si elles présentent un risque, il faut qu’il y ait une véritable égalité face à celui-ci. La loi est la seule à pouvoir garantir cette égalité. Nous avons aujourd’hui le soutien d’un sénateur EELV, Jean-Vincent Placé, et d’un député PS, Jean-David Ciot, nous espérons que demain, ils seront rejoints par un grand nombre de leurs pairs pour travailler ensemble sur cette question de santé publique qui n’est ni de droite, ni de gauche » explique le  Dr Patrice Halimi, Secrétaire Général de l’ASEF. 

Six principes fondamentaux. Les quatre associations soutiennent six principes fondamentaux à respecter pour parvenir à cette égalité : le principe de transparence visant à garantir une information claire ; le principe de la réduction des émissions visant à rendre les antennes les moins nocives possibles ; le principe de légitimité visant à permettre au maire de réguler au mieux le positionnement des antennes sur sa commune ; le principe de dissociation visant à dissocier l’installation et l’exploitation des antennes entre le public et le privé ; le principe de zones protégées visant à interdire les antennes sur les écoles par exemple et enfin le principe de gouvernance participative. «Une réglementation réelle incluant le respect de la santé publique, c'est possible » déclare Etienne Cendrier, porte-parole de Robin des Toits et auteur de l’ouvrage ‘Et si la téléphonie mobile devenait un scandale sanitaire’ paru aux éditions du Rocher en 2008. 

 Chaque citoyen peut apporter son soutien à ces propositions en signant la pétition qui se trouve en bas de la lettre ouverte sur le site www.asef-asso.fr

Nous vous invitons également à signer ici : http://www.avaaz.org/fr/petition/Interdire_toute_installation_dantennes_relai_et_wifi_sur_les_immeubles_de_logements_sociaux//?tta

samedi 17 novembre 2012

Ondes électromagnétiques - les locataires HLM "totalement captifs"



 "Les Robin des toits réclament une étude sur l'impact des ondes dans les HLM" - Courrier des Maires - Novembre 2012




"Les Robin des toits réclament une étude sur l'impact des ondes dans les HLM" - Courrier des Maires - Novembre 2012
L'ONG Robin des toits, inquiète des effets des ondes électro-magnétiques dans des logements devenus des "fours à micro-ondes", appelle la ministre du Logement Cécile Duflot à lancer une étude sur leur impact sanitaire dans les HLM où les locataires seraient, selon l'ONG, "totalement captifs".


"Les sources de pollution extérieure s'intensifient avec la multiplication des antennes-relais et la 4G qui se prépare, n'augurant rien de bon, sinon une nouvelle catastrophe sanitaire, sans équivalent", écrit l'ONG, dans une lettre ouverte à Cécile Duflot, datée du 22 octobre 2012.
De plus, avance l'ONG, nos domiciles sont de plus en plus envahis par "l'électrosmog" intérieur du fait des téléphones sans fil, lappareils bluetooth, smartphones, consoles de jeux, fours à micro-ondes...
"Les logements sont devenus de véritables fours à micro-ondes", assure-t-elle.


Logement social : des locataires "captifs"
Robin des toits souligne la situation précaire des locataires de logements sociaux, "totalement captifs", selon elle.
Ceux-ci n'auraient quasiment aucun recours possible auprès des bailleurs sociaux, "qui perçoivent de très juteuses recettes émanant des opérateurs de la téléphonie mobile en contrepartie d'une autorisation d'installation de leurs antennes-relais polluantes sur les immeubles d'habitation", écrit l'ONG.


Un état des lieux et une loi
Aussi, Robin des toits appelle Cécile Duflot à lancer, en lien avec le ministère de la Santé, une étude nationale de l'impact sanitaire des champs électro-magnétiques sur le parc du logement social.

Début octobre, l'Association Santé environnement France (ASEF), qui dit regrouper 2.500 médecins, a réclamé une loi sur l'implantation des antennes-relais, estimant que la réglementation en règle "ne concède aucun droit aux locataires et explique pourquoi les HLM voient fleurir sur leurs toits des forêts d'antennes relais".


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Source : http://www.courrierdesmaires.fr/P_detail_france.php?id=35732

mercredi 14 novembre 2012

Ondes électromagnétiques - Electro hypersensibilité - Lettre ouverte à Mme la Ministre des Affaires Sociales et de la santé - Marisol Touraine

Communiqué de presse
Paris, Le 14 novembre 2012

Lettre ouverte à la Ministre des Affaires sociales et de la Santé - Marisol Touraine, pour une prise en charge globale de l’électrohypersensibilité

Pour la première fois, un collectif de personnes victimes d'électrohypersensibilité (EHS) – le collectif des électrosensibles de France – soutenu par trois associations nationales – Priartem, Agir pour l’environnement et Le Lien – propose une plateforme de prise en charge globale de cette maladie environnementale émergente.

L'absence d'actions des pouvoirs publics conduit aujourd'hui à des ruptures sociale et professionnelle, et à des situations confinant à la maltraitance voire à la mise en danger. L'exemple le plus frappant en est l'impossibilité pour une personne victime d'électrohypersensibilité, d'accéder aux soins hospitaliers eu égard au déploiement de technologies sans fil dans les centres de soins.

Trop souvent la question de l’EHS est limitée à la question des zones blanches ou renvoyée à l’unique étude de prise en charge de l'hôpital Cochin, disqualifiée scientifiquement et déontologiquement dès son lancement.

Si la création de zones-refuge est une nécessité absolue pour la prise en charge immédiate des cas les plus lourds, elle ne peut être considérée comme la seule action à mettre en place. La plate-forme revendicative transmise à la Ministre traite la question dans toutes ses dimensions, qu'elles soient temporelles (situations d’urgence, actions à court terme ou plus long terme), scientifiques (nécessité de connaissance pour prévenir et guérir) ou encore sociétales (nécessité d'une reconnaissance des personnes atteintes et gestion de leurs situations dans une perspective de garantie des droits des personnes).

Cette plate-forme complète les exigences générales que portent les associations signataires pour la protection de la santé publique : réduction des expositions, application du principe ALARA, réglementation des sources proches… nécessaires aussi bien pour la protection de la population que pour l'amélioration de la qualité de vie des personnes hypersensibles au quotidien.

Le nombre croissant de personnes devenant hypersensibles à cette pollution peut être considéré comme constituant une « population sentinelle » au sein de laquelle on compte de plus en plus de jeunes, qui nous envoie « in vivo » un signal fort des désordres sanitaires à attendre si aucune mesure n’est prise.

Le collectif et les associations qui le soutiennent demandent donc l’organisation d’un débat public afin de tirer toutes les conséquences pour la société des impacts de l’exposition à une pollution électromagnétique généralisée et de plus en plus composite et de prendre les mesures administratives et législatives urgentes qui s'imposent.

Courrier envoyé à Madame la Ministre :
www.electrosensible.org/documents/presse/Lettre_ouverte_Ministre_sante_112012_pour_sites.pdf
Dossier de presse & Pièces jointes au courrier :
www.electrosensible.org/documents/presse/communique_141112


Plates-formes Revendicatives

Contacts presse :                                                                             Plus d'informations :
Priartem : 01 42 47 81 54                                                               www.priartem.fr/
Le Collectif : presse@electrosensible.org              www.electrosensible.org
Le Lien : madeleine_madore@yahoo.fr                                    http://lelien-association.fr
Agir pour l'Environnement                                                                 www.agirpourlenvironnement.org

samedi 10 novembre 2012

Antennes relais - Les policiers 15 malades sur 1OO personnes !!!!!


Les policiers en ont "par-dessus la tête des antennes-relais"

Le 4/10/2012 à 11h24 par Laure Moysset | JOURNAL L'INDÉPENDANT 



Dans la lignée des associations, des divers collectifs et des particuliers, ce sont les fonctionnaires de la police aux frontières (PAF) de Perpignan relayés par Unité SGP-FO police, qui reprennent le flambeau de la lutte contre ces antennes-relais « suspendues au-dessus de leur tête ». Huit émetteurs hérissent actuellement le toit du bâtiment abritant la PAF mais aussi à proximité immédiate des services d’information générale, du renseignement intérieur et de la police judiciaire, au numéro 19 de la route de Prades. Et hérissent aussi le poil des policiers. « C’est une violation délibérée du principe de précaution, pour les collègues, le voisinage et surtout les enfants de l’école Condorcet située à 100 mètres. C’est inacceptable », dénonce Marc Bianchini, secrétaire-départemental adjoint du syndicat.
« 15 malades pour 100 personnels »
Le sujet a été abordé en mars, lors d’un CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) et a rapidement brouillé le dialogue. Les délégués syndicaux ont réclamé que des mesures soient effectuées concernant l’exposition des personnels aux ondes électromagnétiques. Et ce, par un organisme indépendant, le CRIIREM, composé d’experts.
Le préfet a donné son accord pour ces relevés. Or, le SGAP (secrétariat général pour l’administration de la police) a mandaté deux expertises, l’une menée par la COFRAC, unique instance nationale publique d’accréditation, et une seconde par le biais de SFR qui a désigné une autre entreprise. « En fait, on a demandé à SFR de choisir la société pour s’auto-contrôler ! Utilise-t-on ces méthodes pour contrôler les routiers, les restaurateurs, les agriculteurs ou les déclarations d’impôts ? Et puis pourquoi ne pas utiliser des moyens moins dangereux comme la fibre optique ? Sur 100 personnels de la PAF, une quinzaine est atteinte de pathologies qui peuvent être dues à une exposition trop importante à ces ondes électromagnétiques. Cancers, problèmes d’oreille interne, d’irrigation du cerveau...».
«Appliquer le principe de précaution »
En 2011, le conseil de l’Europe avait préconisé l’application du principe de précaution et avait ramené la limite d’exposition à 0,6 volt/mètre qui devrait être abaissée à 0, 2 volt/mètre dans le futur. Sachant que la même année, l’OMS (organisation mondiale de la santé) et le centre international de la recherche contre le cancer ont classé les radiofréquences en catégorie 2B, autrement dit potentiellement cancérigène.
« Or, on est largement au-dessus de cette limite. A Nancy, les représentants du personnel SGP-FO police ont obtenu du CHSCT l’annulation d’un projet d’implantation d’antennes-relais sur les toits du commissariat central. Pourquoi pas faire de même à Perpignan ? Surtout que Free a fait une demande pour implanter trois antennes de plus sur notre toit (lire ci-contre) ? Pourquoi des enfants, et des policiers, feraient-ils les frais de spéculations financières ? Parce que les locaux loués par l’administration appartiennent à une société privée  ? Nous demandons à l’ensemble des élus et des représentants de l’administration que cette situation soit réellement prise en compte et que le principe constitutionnel de précaution passe avant toute autre considération ».
Laure Moysset

mardi 6 novembre 2012

Antennes relais démontées - Les Parents d'élèves de Noisiel ont eu gain de cause !


Une bonne nouvelle à Noisiel !
22 octobre 2012 - par Priartem - Thème : Les antennes contestées
L’antenne-relais SFR située au-dessus du groupe scolaire a été démontée en totalité, et déplacée sur un site de substitution proposé par la Mairie de Noisiel et le syndicat d’agglomération - comme en témoignent l’article joint et le lien vers notre blog.


Reda BELKACEM
JPG - 1.2 Mo
Le Parisien - 6/10/2012
JPG - 1.2 Mo
Le Parisien - 17/09/2011
Mots-clés associés à cet article : Mobilisation
 
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Antennes relais - L'enquête de santé réalisée par l' A.S.E.F cité du Général à Aubagne


Immeuble le Général, Aubagne en Provence


la liste des décès et pathologies s'allonge !


17 antennes relais


Début des implantations des Antennes relais sur le toit de l'immeuble : année 1998


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Le 30 Janvier 2013


La ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, a mis en garde mercredi contre des "peurs irrationnelles" liées aux ondes radioélectriques, dont "la dangerosité n'est pas scientifiquement étayée"


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Liste ci-dessous mise à jour : Le 24/11/2014


Le 24/11/2014 un nouveau cas d' AVC à l'entrée 43


Le 19/11/2014 un nouveau décès (cancer) à l'entrée 40


Le 15/05/2014 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 43


Le 10/04/204 un nouveau cas grave (cancer du foie) au 40


Le 2/03/3014 un nouveau cas grave (cancer du pacréa) au 42


Le 8/01/2014 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/08/2013 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/02/2013 un nouveau cas de cancer identifié à l'entrée 40


Le 16/02/2013 un nouveau décès (cancer ?) au 41


Le 12/02/2013 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 45


Le 21/12/2012 deux nouveaux cas d' AVC (2007 et 2009) identifiés à l'entrée 40 !


Le 20/11/2012 un nouveau cas de cancer à l'entrée 40 !


Le 7/11/2012 un nouveau décès (crise cardiaque) au 42 !


Un nouveau cas de tumeur (2012) identifié à l'entrée 45 (14 appartements)


Troublant non !


L'enquête de santé ci-dessous a été réalisée en Novembre 2011


En Novembre 2011 l' Association Santé Environnement France (ASEF) regroupant 2500 médecins à menée une étude dans deux cités HLM (13Habitat) des Bouches du Rhône : l'une à Aubagne en Provence à la cité du Général Avenue de Verdun, dont nous sommes locataires (17 antennes relais) l'autre à Aix en Provence cité la Pinède (12 antennes relais).

43 % des 117 locataires de la cité du Général et 16 locataires de la Pinède interrogés se plaignent d' acouphènes (sifflement, bourdonnements dans les oreilles) alors que seulement 15 % des Français disent en souffrir. De même, 55 % des locataires disent souffrir de maux de tête et trouble du sommeil contre seulement 32 % de la population globale.

Et 27 % des sondés avouent avoir du mal à se concentrer contre seulement 4 % des Françai